Kit de survie pour hypersensible

Ce kit, spécialement conçu pour améliorer le confort des hypersensibles, référence les produits qui ont changé ma vie (ainsi que celle de mes clientes) et que j’aurais vraiment voulu connaître plus tôt !

Si tu me découvres pour la première fois avec cet article, je m’appelle Elise BOUSKILA. Je suis moi même une hypersensible qui, au départ, manquait d’outils adaptés pour vivre sereinement ses montagnes russes émotionnelles, ses 10 000 questionnements à la minute et son hyperacousie.

Je suis également coach spécialisée dans l’accompagnement des femmes hypersensibles. Je les aide à sortir du mode survie et leur permets de construire une vie qui a la joie comme ingrédient principal. J’ai à cœur de te partager les meilleurs outils et conseils pour tu n’aies plus besoin d’avoir à faire de compromis sur ton bonheur. A force de se suradapter, on a oublié qu’il était possible d’avoir à la fois l’amour, la carrière et le bien-être, sans avoir besoin de s’épuiser pour ça. Vidéos, articles, accompagnements, tout est fait pour que tu réalises que tu mérites le meilleur et ceci est non négociable.

Dans ce kit, tu trouveras mes liens affiliés vers tout ce dont tu as besoin pour prendre soin de ton hypersensibilité et rendre ta vie déjà plus agréable dès demain.

Cette liste est également idéale pour ceux qui cherchent les meilleures idées cadeaux pour un.e hypersensible !

Au programme, plusieurs catégories :

  • RÉDUIRE SON ANXIÉTÉ
  • MIEUX DORMIR
  • SE RELAXER
  • AU TRAVAIL
  • DANS MON SAC À MAIN

RÉDUIRE SON ANXIÉTÉ


L’APPAREIL DE MÉDITATION

Type d’hypersensibilité : Hypermentalisation.

Bienfaits : Permet de trouver le bouton OFF de son mental et de revenir au calme.

Avis : La méditation silencieuse n’est pas forcément facile pour les personnes ultraphantasiques ou les plus mentalisantes d’entre nous. Pour apaiser tes pensées et t’ancrer dans le moment présent, il existe d’autres solutions comme l’application Calm que j’aime beaucoup, ou l’appareil Morphée qui a l’avantage de s’utiliser sans écran (et donc d’éviter les surstimulations qui vont avec). Idéal pour abaisser son niveau d’anxiété.


LE CARNET DE GRATITUDE

Type d’hypersensibilité : Hyperémotivité.

Bienfaits : Apaise la négativité et réactive la joie.

Avis : Selon une étude, les personnes vivant dans la gratitude vivent 7 ans de plus en moyenne… mais selon moi la gratitude c’est surtout le moyen de vivre 7 fois plus heureuse dès aujourd’hui. Ce rituel simple et agréable permet de réduire son stress et de retrouver de la satisfaction au quotidien. Il va aussi t’aider à développer plus facilement un mindset d’abondance grâce à l’activation positive de ta dynamique de la sensibilité.


L’ACTIVITÉ MÉDITATIVE

Type d’hypersensibilité : Hypermentalisation.

Bienfaits : Permet de réguler son système nerveux.

Avis : Un cerveau hypersensible a besoin d’au moins 2H de désaturation par jour. Pour ça, on a souvent besoin d’un coup de pouce en pratiquant une activité méditative qu’on aime. Crochet, dessin, puzzle… tu as une multitude de choix. De mon côté, c’est la peinture (par numéros, parce que je ne suis vraiment pas une artiste ^^) qui marche le mieux ! Mon coup de cœur c’est la collection graphique et coloré de Créart. (Astuce : j’achète aussi un carnet de coloriage en plus pour finir la peinture qui reste, il y en a toujours 100 fois trop).


MIEUX DORMIR


LES BOUCHONS D’OREILLES

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (auditive).

Bienfaits : Protège des surstimulations sonores et dimunue l’impact des bruits irritants.

Avis : Un indispensable pour moi ! J’utilise depuis très longtemps les Boules Quies en mousse, qui sont les seules à offrir une protection jusqu’à 35dB. Il existe aussi des bouchons en cire ou en silicone, mais qui peuvent être moins confortables pour dormir (notamment si, comme moi, tu dors sur le coté). La marque Loop, qui a un design plus élégant, pourrait être une alternative réutilisable intéressante (si suffisamment confortable) mais ne va que jusqu’à 27dB.


LE MASQUE DE NUIT

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (visuelle).

Bienfaits : Bloque la lumière et favorise un sommeil plus profond.

Avis : Je suis du genre à ne pas supporter le point rouge du détecteur de fumée, la lumière de la multiprise, ou le jour qui passe à travers les rideaux. Donc je voyage toujours avec un masque de nuit pour réussir à dormir quelque soit le niveau d’obscurité de la chambre. J’utilise un masque de nuit tout simple, mais si tu as besoin de dormir dans les transports ou des environnements très lumineux, je te conseille le Manta Sleep Mask qui est 100% blackout.


LE LINGE DE LIT

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (tactile).

Bienfaits : Réduit les irritations et inconfort des peaux hypersensibles.

Avis : Quand on est hypersensible, impossible de dormir dans des draps tout rêches ou avec des oreillers qui ont des coutures qui démangent. Pour éviter le problème, je te recommande de veiller à la qualité des matières qui sont en contact avec ta peau. Pour le linge de lit, l’idéal est de privilégier la soie, le coton ou les matières microfibres.


SE RELAXER


LE COUSSIN MASSANT

Type d’hypersensibilité : Hyperstimulation.

Bienfaits : Réduit les tensions musculaires, permet de s’offrir un temps de déconnexion régulier.

Avis : En tant qu’hypersensible, notre corps absorbe avec intensité notre charge émotionnelle. Résultats : cervicales bloquées, trapèzes contractés, douleurs dorsales peuvent apparaitre pendant les périodes chargées. A la fin de ma journée de travail, une séance de siège massant me permet de faire une coupure et de me délester de la surcharge emmagasinée dans la journée. J’utilise personnellement le coussin massant de Comfier qui a également une fonctionnalité chauffante qui permet de délasser davantage.


LE TAPIS D’ACUPRESSION

Type d’hypersensibilité : Hyperstimulation.

Bienfaits : Permet de relâcher les tensions et se relaxer.

Avis : Comme notre mental est plus réactif, nos émotions plus intenses, nos ressentis sont plus puissants (y compris les plus douloureux d’entre eux). Quand les tensions s’accumulent c’est le début d’un cercle vicieux et tout devient plus pénible. Pour éviter ça, mes abonnées sont nombreuses à utiliser des tapis d’acupression pour faire des pauses faciles et relaxantes. Je n’ai pas encore testé mais c’est dans ma liste, je suis curieuse d’essayer ça bientôt.


L’ABONNEMENT MUSIQUE / LIVRE

Type d’hypersensibilité : Hypermentalisation.

Bienfaits : Permet de se nourrir, s’évader et se détendre.

Avis : Je dis souvent qu’on est 24 dans ma tête pour illustrer le nombre de pensées et d’images que génère mon cerveau d’hypersensible à la minute. Notre neuroatypie nécessite d’avoir des solutions pour s’évader et s’apaiser. Pour ça rien de mieux que les livres, les podcasts et la musique. De mon côté, j’utilise aussi bien les livres papier que la Kindle, et j’aime avoir à la fois mon MP3 et un abonnement de Musique / Podcast. Il faut avouer qu’Amazon Prime est un très bon rapport qualité-prix pour démarrer parce qu’il réunit un large choix de livres digitaux, ainsi qu’un abonnement musique & podcast (et coûte moins cher que des abonnements distincts).


AU TRAVAIL


LE CASQUE À RÉDUCTION DE BRUIT

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (auditive).

Bienfaits : Réduit considérablement le bruit ambiant. Diminue la fatigue sensorielle et aide à la concentration.

Avis : Le casque à réduction de bruit est le format idéal si tu travailles en open space et / ou si tu as besoin de t’isoler du bruit pendant plusieurs heures d’affilée. En effet les écouteurs ont l’avantage d’être moins encombrants, tandis que le casque offre une isolation plus performante et un meilleur confort sur la durée. Les casques Sony et les casques Bose sont incontestablement les plus recommandés du marché, tu peux y aller les yeux fermés.


LA GOURDE OLFACTIVE

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (olfactive / gustative).

Bienfaits : Réduire les boissons néfastes et s’hydrater plus facilement.

Avis : On le sait, caféine et hypersensibilité ne font pas bon ménage… Mais difficile de changer ses habitudes, surtout au bureau, et encore plus si tu as le goût et l’odorat très développés. Thé Matcha, Golden Latte, ou Infuseur à fruits, tout est possible pour rendre ça plus facile. La technologie la plus innovante pour les hypersensibles reste la gourde Air Up qui permet de boire uniquement de l’eau pure mais avec la sensation d’un gout fruité (au choix) grâce à des pods olfactifs. Si ça t’intéresse : -20% sur Air Up.


LE TAMPON « DÉMERDE-TOI »

Type d’hypersensibilité : Hyperempathie.

Bienfaits : Soulage les nerfs.

Avis : Bon Ok, ça ça n’est pas vraiment utile je te l’accorde. C’est surtout parce que cette série de tampons m’a fait rire, et parce qu’il y a quand même des fois où ça soulagerait de pouvoir vraiment tamponner ça ! Dédicace à tous les empathes qui ont encore du mal à dire NON


DANS MON SAC A MAIN


LES ÉCOUTEURS À RÉDUCTION DE BRUIT

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (auditive).

Bienfaits : Réduit considérablement le bruit ambiant. Diminue la fatigue sensorielle et aide à la concentration.

Avis : Incontestablement ma meilleure acquisition, je ne peux plus m’en passer ! Ils me permettent d’écouter la musique, regarder mes vidéos et passer mes appels de coaching sans être déranger par le bruit. Utilisés seuls, ils me permettent même de discuter avec ma famille ou mes amis au restaurant sans subir le brouhaha, le crissement des chaises ou les discussions de la table d’à coté… Un apaisement infini. J’utilise les Airpods Pro (2ᵉ génération) qui sont géniaux, mais on m’a dit aussi beaucoup de bien des écouteurs Bose.


LES LUNETTES DE SOLEIL

Type d’hypersensibilité : Hypersensorialité (visuelle).

Bienfaits : Réduit l’intensité lumineuse et le confort visuel.

Avis : Ça semble trivial, mais il s’avère que je porte mes lunettes de soleil bien plus souvent que la moyenne (je me demande même comment font les gens qui n’en ont jamais). Par exemple, je suis aussi obligée de le mettre par temps gris qui est une lumière très gênante pour moi. J’ai eu le coup de cœur pour le modèle Moonshine de la marque engagée Jimmy Fairly. J’ai choisi des verres polarisants pour maximiser la protection et le confort de ma sensibilité. Profite de 10€ de réduction sur ta 1ère commande Jimmy Fairly avec mon code parrainage « elise.bouskila ».


LE CARNET DE NOTES

Type d’hypersensibilité : Hypersmentalisation.

Bienfaits : Limite la rumination.

Avis : Si je ne note pas une idée, elle m’obsède. Je ressasse, j’ai peur de l’oublier, je me sens frustrée de ne pas pouvoir la développer, bref c’est de la torture. Pour contrer le problème, je note TOUT ! Soit dans mon application notes, soit dans un mini carnet qui m’accompagne toujours sur moi. Simple, mais très efficace pour soulager le mental foisonnant.

Top des livres qui ont changé ma vie !

Ces livres, ils ont changé ma vie ! Ce genre de livre devrait être remboursé par la Sécurité sociale. Une prescription de bien-être pour être plus heureux !

Je les ai lus au fil des découvertes, mais je te les propose dans un ordre que je trouve plus adapté. Surtout si tu n’as encore jamais lu de livre de développement personnel. Sachant que ce qui compte le plus, ce n’est pas l’ordre dans lequel tu les liras, c’est de les lire et de les mettre en application.

A toi de piocher dans cette liste en fonction de ce que tu connais déjà ou des thématiques qui te parlent le plus. L’essentiel, c’est que ces lectures puissent t’aider à faire un pas de plus vers une vie plus épanouie. Et que demain, tu te sentes mieux dans ta tête, dans ton corps et dans ta vie.

Prête à faire ta sélection et changer ta vie ? C’est parti !


« Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » de Raphaëlle Giordano

C’est LE livre idéal pour se sentir mieux. Il permet de se familiariser avec des concepts de développement personnel sans même s’en rendre compte. À lire absolument si tu te sens écrasé(e) par un quotidien métro-boulot-dodo.

Ce que j’ai adoré : Que ce soit un roman, donc idéal pour se changer les idées en se plongeant dans une histoire, tout en en tirant des leçons à mettre en pratique dans son quotidien.


« La Magie » de Rhonda Byrne

Ne t’arrête pas à ce titre mystique. Et ne sois pas déçu(e) de ne pas ouvrir le Livre des Ombres des sœurs Halliwell (dans Charmed). Ce livre est une pépite ! Il offre ce qu’il y a de plus important pour faire la paix avec soi-même : la Gratitude ! Il te permettra aussi de tester tes super-pouvoirs grâce à la loi de l’attraction. Magique !

Ce que j’ai adoré : Un Chapitre = une journée. Ce qui permet d’avancer un peu chaque jour, et surtout d’agir concrètement et immédiatement.


« Les quatre accords Toltèques » de Miguel Ruiz

D’une simplicité et d’une efficacité redoutable ! Mais attention, simple ne veut pas dire facile. Il faudra y revenir régulièrement pour réussir à transformer ces accords en habitudes. Ils représentent pour moi les fondements pour être apaisé(e) dans sa relation aux autres.

Ce que j’ai adoré : La présentation de ces quatre principes sous forme de règles d’or, ce qui nous permet de se les répéter autant de fois que nécessaire.


« Le pouvoir du moment présent » d’Eckhart Tolle

Ce livre a été une vraie révélation pour moi ! Il m’a effectivement permis de prendre conscience du pouvoir du moment présent. Ça a changé énormément de choses dans mon quotidien. Je pense qu’il est aussi la porte d’entrée pour tous ceux qui veulent s’intéresser à la pleine conscience.

Ce que j’ai adoré : La puissance de son contenu ! Une véritable expérience spirituelle qui apporte sérénité et bien-être.


« Méditer, jour après jour » de Christophe André

Pour commencer à pratiquer la pleine conscience, c’est l’ouvrage idéal ! Sous forme de leçons, on apprend le b.a.-ba de la méditation. Chacune d’entre elles est illustrée par une peinture. Le choix des œuvres ne m’a pas particulièrement séduite, mais j’ai trouvé que l’envie de donner une visualisation aux concepts était intéressante.

Ce que j’ai adoré : L’association du livre à son CD de méditations guidées. Parfait pour s’essayer plus facilement aux exercices décrits dans le livre.


« Imparfaits, libres et heureux » de Christophe André

Je l’ai adoré ! Je le recommande à tous ceux qui ont la sensation de ne jamais faire les choses assez bien. Le livre nous explique le pourquoi du comment. Et surtout, il nous donne les bonnes pratiques pour réussir à développer une bonne estime de soi. Ce qui est clairement un gros morceau quand on cherche à prendre confiance en soi.

Ce que j’ai adoré : Le soutien pour me sentir Imparfaite, Libre et Heureuse ! Comme un mantra qui ne me quitte plus.


« Comment se faire des amis » de Dale Carnegie

Un titre peu accrocheur mais un contenu excellent ! Ce livre donne les clefs pour comprendre comment mieux communiquer avec les autres (même si présenter sous l’axe de la vente). Sachant que la qualité de nos relations avec les autres est un élément qui influence directement notre niveau de bonheur, ça vaut le coup de s’y intéresser.

Ce que j’ai adoré : Les exemples détaillés et les règles à en tirer. J’aime aussi beaucoup l’intemporalité de ces conseils !


« Écoute ton corps » de Lise Bourbeau

Je suis personnellement convaincue qu’il est important de travailler sur le lien corps-esprit. Un livre qui adresse cette problématique, en nous rappelant à quel point il est crucial de prendre soin de son corps. Il permet aussi de se familiariser avec le style et les particularités du vocabulaire de Lise Bourbeau.

Ce que j’ai adoré : Apprendre à se reconnecter à ses sensations et à écouter son corps.


« Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » de Lise Bourbeau

Comprendre des blessures plus profondes et leurs répercussions sur notre comportement. J’ai dû relire plusieurs fois certaines blessures pour réussir à amorcer un travail de réflexion sans jugement.

Ce que j’ai adoré : Je pense que je n’aurais pas apprécié ce livre si j’avais commencé par ça ou si on me l’avait imposé. Idéalement je le recommanderais davantage à des gens qui ont déjà entamé un processus de changement et qui souhaitent aller plus loin.


Et si tu veux savoir pourquoi ces livres ont changé ma vie, découvre mon histoire dans cette video :

POM’Kiss

Tu penses toujours au bonheur des autres… Mais qui pense au tien ?

Est-ce que tu es du genre à faire passer le bonheur des autres avant le tien ?

Est-ce que tu fais partie de ceux qui passent leur temps à s’occuper des autres ? À les aider ? À leur éviter des peines ou des souffrances, à les ménager, à leur faire plaisir, à penser à leur bien-être ? Est-ce que tu es aux petits soins pour ceux qui t’entourent ?

D’ailleurs donner autant d’amour aux autres fait surement partie des choses qui te remplissent le plus de bonheur. La joie de se sentir utile, de voir les gens qu’on aime retrouver le sourire, avoir la sensation qu’on fait quelque chose qui a du sens.

Je te comprends parce que je suis totalement comme toi ! J’ai toujours aimé aider les autres, comprendre leurs problèmes, utiliser mon empathie pour les rassurer et faire mon maximum pour les aider à trouver la solution qui leur convient.

Sauf qu’on fait une énorme erreur et qu’on passe à coté de l’essentiel. Moi aussi j’avais oublié le plus important pour que ça puisse fonctionner au mieux et à long terme : prendre aussi soin de moi.

Et ton bonheur dans tout ça ?

Oui, et toi dans tout ça ? Est-ce que tu prends autant soin de toi que ce que tu te consacres aux autres ? Est-ce que tu réussis à t’appliquer tous ces bons conseils que tu donnes pour aider les autres ? Combien de temps, d’argent ou d’énergie tu investis pour toi ? pour ton bien-être physique et mental ?

Quand on s’occupe plus des autres que de nous même, ce déséquilibre va inévitablement générer la situation inverse de ce que l’on veut. Parce que lorsque tu te délaisses et que tu ne fais pas suffisamment attention à tes propres besoins, c’est autant d’amour, d’énergie et de temps que tu ne peux plus offrir aux autres.

Je sais que lorsque on a pris cette habitude de se faire passer en dernier, le quotidien se complique…

A chaque fois que tu veux faire quelque chose pour toi tu te trouves égoïste. Souvent tu te dis que tu ne le mérites pas, ou pas suffisamment. Parfois tu te demandes ce que les gens vont en penser, tu supposes qu’ils vont te trouver égocentrique… Tu en arrives à un point ou tu évites de dire ce que tu penses vraiment, parce que tu sais que ça risque de ne pas plaire. Que tu préfères t’effacer pour éviter les conflits, parce que tu sais comment ils vont réagir. Souvent tu en as marre mais tu te dis que c’est surement mieux comme ça.

Tu veux savoir ce qu’il va arriver ? Exactement ce que j’ai vécu, la sensation que ta vie n’a pas de sens, tu déprimes et tu deviens l’ombre de toi meme. Oui si tu continues comme ça, un jour, tu vas te réveiller en te disant que tu as gâché ta vie.

Considère-toi comme tu considères ton/ta meilleur(e) ami(e)

Imagine-toi : si la personne la plus merveilleuse et la plus attentionnée à tes yeux se dévalorisait, s’empêchait de faire ce qu’elle aime, d’être heureuse, ou tout simplement de se faire plaisir juste pour toi, qu’est-ce que tu lui dirais ? Sincèrement ?

Et bien, cette personne, c’est toi ! C’est toi qui dois prendre conscience que faire passer les autres avant soi-même est une grave erreur. Ça ne veut pas dire que tu ne vas plus penser aux autres, que tu les aimeras moins ou que tu seras moins là pour eux, mais juste que tu mettras autant d’amour, de temps, d’argent et d’énergie à aussi faire tout ça pour toi.

Si tes proches t’aiment sincèrement, ils ne souhaitent qu’une chose : que tu sois chaque jour plus heureux(se) et épanoui(e).

Apprends à investir sur toi

Et pour ça, il faut que tu investisses sur ton bonheur ! Ça ne signifie pas négliger les autres, mais juste te traiter à ta juste valeur, en t’accordant autant de temps, de respect, de gentillesse et de bienveillance.

Mais attention : ce n’est pas facile. Quand tu es prêt(e) à tout faire pour les gens que tu aimes mais que tu ne t’occupes pas assez de toi, de ton bonheur, ou de ta santé, souvent, c’est parce qu’on ne t’a pas appris comment faire.

Ce n’est pas de ta faute, depuis notre plus tendre enfance, on nous apprend à donner mais pas à recevoir. On nous apprend qu’il faut s’occuper des autres, alors qu’on ne sait même pas encore s’occuper de nous-mêmes.

Tu n’y peux rien si tu n’as pas eu accès à un environnement te permettant de t’exprimer librement, sans crainte, sans attente, juste pour que tu puisses apprendre à écouter tes besoins, tes envies et mieux comprendre ce qui pourrait te rendre heureux.

Mais il est encore temps de changer ça.

Reprends ton bonheur en main

Ce que je te propose aujourd’hui, c’est d’apprendre à te connaitre. D’apprendre à te poser les bonnes questions et de te concentrer sur ton bonheur.

Pour ça, j’ai mis en place des coachings individuels, uniquement réservé à ceux qui ont envie de changer ça et de s’occuper enfin d’eux.

Ensemble, on crée un safe space pour que tu puisse te sentir écoutée, rassurée et encouragée !

Si ça t’intéresse, retrouve toutes les informations ici : « mon coaching »

Pour retrouver la sérénité de pouvoir dire ce que tu penses sans craindre le jugement des autres.

Pour pouvoir prendre du temps pour toi sans te sentir coupable.

Pour te sentir bien dans ton corps et dans ta tête et oser être toi meme.

Parce que c’est en s’aimant soi, autant qu’on aime les autres, qu’on peut réussir à diffuser toujours plus d’amour autour de nous.

#bepoms #bepositive #beyourself

VOIR MES AUTRES ARTICLES :

Comment se détacher du regard des autres

Les clés pour se détacher du regard des autres

On oublie parfois l’importance de se détacher du regard des autres pour se sentir pleinement épanouie.

Il s’agit pourtant d’un problème récurrent. Je dirais même qu’il s’agit d’un problème majeur lorsqu’il est régulièrement source de blocages, de stress, ou d’angoisses paralysantes. Et malheureusement, ces troubles, déjà pénalisants au quotidien, aboutissent souvent à une baisse, voire à une perte totale de confiance en soi.

Dans cet article, je souhaite t’aider à prendre conscience de pourquoi tu accordes autant d’importance au regard des autres, à réfléchir à ce que cela représente pour toi et enfin à essayer de faire le premier pas pour t’en détacher.

Pour aller plus loin, sache que je propose aussi des coachings individuels et personnalisés pour t’aider à reprendre confiance en toi. Je n’accompagne qu’un petit nombre de personnes, toutes les informations sont ici : http://elisepompomgirl.com/coaching/

Le regard des autres : qu’est-ce que c’est ?

Se détacher du regard des autres

La définition semble assez simple : le regard des autres, c’est le regard que les personnes qui nous entourent, connues ou inconnues, peuvent porter sur nous. Mais à la lecture de cette définition, il manque pour moi un élément essentiel : ce n’est pas uniquement le regard en lui-même, mais bien la perception que nous en avons et l’influence que cela peut avoir sur nous.

Parce qu’après tout, il ne s’agit que d’un regard. Nous regardons continuellement les autres et nous sommes aussi constamment regardés par d’autres personnes. Jusque-là, pas vraiment de souci. Mais si le regard que les autres posent sur nous peut s’avérer problématique, c’est parce qu’il fait naître des émotions et des pensées négatives en nous.

Le regard des autres va ainsi généralement de pair avec la sensation de subir un regard inquisiteur, un jugement hâtif, parfois oppressant, qui fait écho à des pensées négatives en nous. Lorsqu’on est confronté aux regard des autres, ce sont les choses qui sont les plus susceptibles de nous mettre mal à l’aise, les choses qui nous complexent, et ce sur quoi nous ne nous sentons pas en confiance, qui remontent violemment à la surface.

Le problème ne vient pas de l’autre. Il est en nous.

EXERCICE : Avant d’aller plus loin, il est déjà très intéressant de prendre le temps de recenser les situations / les points sur lesquels le regard des autres est pesant pour toi, et dans quel(s) cas il t’importe peu. Parce que même si cela peut sembler évident, cet exercice met déjà en lumière les éléments de ta vie sur lesquels tu n’es pas encore complètement à l’aise, et donc savoir sur quoi tu peux te concentrer.

Mon expérience face au regard des autres

En ce qui me concerne, quand j’ai commencé à donner des cours de danse Pompom, j’avais très souvent l’impression que les gens pensaient que ce que je faisais était nul et sans intérêt, que mes cours ne valaient rien, à part « faire mumuse ». Et les regards que j’interprétais comme tel me rendaient totalement malade !

Mon rapport au regard des autresParfois, ça me déprimait totalement, parce que je me disais : « si on me regarde comme ça, c’est parce que ça doit être vrai… Je suis sans doute une grosse nulle, qui n’a pas sa place ici et qui est tellement moins bien que tous les autres… »

Et d’autres fois, ça me mettait en colère ! Je trouvais ça injuste : « pffff, comment elle peut se permettre de me juger ! C’est quoi ce regard négatif, sans même savoir ce que j’ai traversé, sans connaître mon quotidien… » Et à ce rythme, je pouvais monter en pression pendant des heures.

Dans tous les cas, je ressentais un mal-être, qui créait chez moi le besoin de toujours me justifier. Je détaillais mon parcours de danseuse, j’essayais de prouver à tout prix mes connaissances, je me sentais obligée d’expliquer mes choix pédagogiques… et j’en passe.

Et au fur et à mesure que je me suis intéressée au développement personnel. J’ai pris conscience que ce n’était pas par hasard que je souffrais du regard des autres dans cette situation. C’était parce que j’avais beaucoup de mal à avoir confiance en moi. Et en ce que je faisais. Je cherchais donc constamment l’approbation des gens qui m’entouraient ou des gens plus expérimentés.

Et c’est en faisant un travail sur mes propres pensées que, pas à pas, je suis parvenue à me détacher du regard des autres. Il faut toutefois se rappeler qu’il n’y a pas de solution miracle, qu’il faut se donner le temps de faire un travail sur soi et de le mettre autant que possible en pratique.

Mais j’aimerais partager avec toi les deux éléments qui m’ont le plus aidée dans ce processus.

Mes 2 astuces pour se détacher du regard des autres

1. Arrêter de vouloir plaire à tout le monde

Le premier pas de ma quête a été de prendre conscience que mes craintes reposaient sur le manque de confiance en moi et la crainte de ne pas plaire à tout le monde. Je me suis rendu compte que je me faisais du mal toute seule, en supposant toujours le pire. Je me focalisais sur des suppositions négatives de personnes extérieures, au lieu de me concentrer sur ce qui comptait vraiment : l’avis de mes élèves et des personnes concernées. Parce qu’en effet, je ressentais cette peur alors que mes élèves me faisaient de fantastiques retours. Je me suis aperçue que je pouvais recevoir un « merci, tu m’apportes tellement » ou entendre « tu as changé ma vie », et être quand même perturbée par un regard qui me paraissait peu bienveillant pendant 10 secondes !

Et tu sais pourquoi ? Parce que l’humain est fait de telle sorte que nous subissons le « biais de négativité ». C’est-à-dire que, naturellement, nous allons davantage porter attention à ce qui est négatif qu’à ce qui est positif. Même si une seule personne va sembler porter un jugement critique, contre 10 personnes qui adorent ce que tu fais. La nature n’est pas toujours bien faite, n’est-ce pas ? Mais au fur et à mesure, tu dois accepter que tu ne pourras jamais plaire à tout le monde. Et même si ce n’est pas toujours facile à admettre, tu peux faire comme Youssoupha et te rappeler que « plaire à tout le monde, c’est plaire à n’importe qui ». Une fois encore, le fait d’en prendre conscience change littéralement ta perception des choses. Et petit à petit, tu vas apprendre à ne pas laisser ce biais de négativité te contrôler.

Et puisqu’on est dans les citations de rappeurs que j’affectionne, je citerais Orelsan : « J’voulais écrire pour les haineux, mais j’vais faire mieux, Écrire pour ceux qui m’aiment, eux ». Concentre-toi sur ceux avec qui tu partages les mêmes valeurs. Ceux qui s’intéressent vraiment à toi pour ce que tu es vraiment, et concentre-toi sur le positif.

2. Respecter les 4 accords toltèques

Le deuxième point qui m’a aidée à affronter cette peur plus sereinement a été de revenir aux « 4 accords toltèques ». Je te laisse les découvrir :

Les 4 accords toltèques

Les 4 Accords Toltèques – Don Miguel Ruiz

« Que ta parole soit impeccable »

Le plus difficile pour moi est de réussir à ce que ma parole soit impeccable quand je parle de moi, ou à moi, et c’est certainement aussi ton cas. Sans doute connais-tu toi aussi ces moments où tu t’auto-juges et te dis : « je suis trop bête », « je suis inintéressante », « je suis moche »… Et il n’y a rien de pire que ce manque de bienveillance envers toi-même. Parce qu’à force de le dire, tu prends ça pour une vérité. Pour sortir de ce cercle négatif, à chaque parole de ce genre, prends le temps de te corriger. Prends le temps de dire quelque chose de positif. Au fur et à mesure, ta parole devient plus juste, et tes pensées plus bienveillantes.

« Quoi qu’il arrive, n’en fais jamais une affaire personnelle »

Ou comment se concentrer sur son cercle d’influence. Dans la vie, il y a des choses sur lesquelles tu peux agir directement. D’autres sur lesquelles tu n’as absolument aucune maîtrise. Et c’est ce qui compte ici : tu ne peux pas empêcher les gens de penser ou de dire ce qu’ils veulent. En revanche, tu n’en es pas responsable. Concentre-toi sur ce qui est de ta responsabilité : tes pensées et tes actions.

« Ne fais pas de suppositions »

C’est le principe le plus facile à mettre en place quand tu es sujet à souffrir du regard des autres. Parce que, souvent, c’est nous qui créons tout un tas de suppositions, fondées sur pas grand-chose, et qui alimentent notre peur. Alors, quand tu sens ton esprit partir, répète-toi ce principe et reviens à ce qui est concret ou existant. Si tu as du mal à ne pas faire de suppositions, tu peux formuler une interprétation positive, pour contrebalancer l’idée négative que tu as laissé échapper au départ.

« Fais toujours de ton mieux »

On termine avec mon principe préféré ! Parce qu’on cherche trop souvent à être parfaite, au lieu de tout simplement faire de son mieux. N’oublie pas que la perfection n’existe pas. Fais toujours de ton mieux, tu en feras beaucoup plus que si tu cherches à être parfaite.

En mettant régulièrement en pratique ces quatre grands principes, tu pourras commencer à te détacher du regard des autres. Maintenant, concentre-toi sur l’essentiel et élimine au maximum les pensées négatives.

Si, toi aussi, tu souhaites être accompagnée pour reprendre confiance en toi, rendez-vous ici : http://elisepompomgirl.com/coaching/

Et n’oublie pas : #bepoms #bepositive #beyourself

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Il n’est pas toujours facile de reprendre les cours de danse ou tout simplement de s’y mettre après une période d’inactivité. Mais ce n’est pas une fatalité ! Je vais essayer de vous aider avec ces 9 techniques pour prendre de bonnes habitudes et se (re)mettre plus facilement à la danse.

1. Faire le bon choix

Il est évidemment essentiel de sélectionner le bon cours de danse. C’est précisément le sujet que j’ai abordé dans la vidéo “Comment bien choisir son cours de danse ?”. Si vous ne savez pas pourquoi vous y allez, ou que vous n’êtes pas dans un cours où vous vous sentez bien, ce n’est même pas la peine. Donc posez-vous les bonnes questions, essayez plein de danses, plein de cours et trouvez celui qui vous correspond le mieux.

2. Se motiver

Maintenant que vous avez le cours de danse qui vous correspond parfaitement, il est très important que vous gardiez cette motivation tout au long de l’année. Pour y arriver, prenez une feuille et écrivez les raisons qui vous ont fait choisir ce cours, ou cette danse en particulier. Quels bénéfices vous apporte-t-il ? Comment vous sentez-vous à la fin de ce cours ? Et n’oubliez pas de le mettre bien en vue : sur votre bureau, sur la porte de votre frigo, ou pourquoi pas en fond d’écran !

3. Avoir un objectif

Il peut y avoir énormément d’objectifs différents. Vous pouvez viser de faire le spectacle de fin d’année, en général il y en a un et c’est très motivant. Mais vous pouvez aussi vous créer de petites étapes, comme par exemple danser seul(e) la chorégraphie à la fin du mois, ou faire un mini-show devant vos trois meilleur(e)s ami(e)s à la fin du trimestre. Tout ça va vous aider à ne rien lâcher et vous donnera une raison supplémentaire de vous bouger à chaque cours.

4. Se sentir bien

Il est essentiel de ne pas négliger ce point ! Pour prendre du plaisir, il faut avant tout être à l’aise. Vous pouvez vous acheter une tenue que vous adorez et dans laquelle vous vous sentez bien. Ainsi, rien que l’idée de la porter contribuera à vous motiver ! Si vous ne savez pas quoi choisir, vous pouvez aller voir ma vidéo sur les 3 exemples de tenues de danse, qui sont très faciles à refaire.

5. Se sentir bien (bis)

Et oui, encore ! Personnellement, je me maquille souvent pour aller à mes cours de danse. Vous allez me dire : à quoi ça sert de se maquiller alors qu’on va danser, transpirer, etc. ? Tout simplement à éviter de se dire, en croisant son regard dans le miroir : “Oh cette gueule que t’as ! T’as l’air hyper fatiguée…” et de se déconcentrer pour rien. Parce qu’en général, ce n’est pas vrai, c’est juste un mauvais sentiment qu’on peut avoir à ce moment-là. Si vous ne vous maquillez pas, tant mieux, ne vous forcez surtout pas à vous maquiller. Mais si vous faites partie de celles qui ont du mal à se regarder dans le miroir, peut-être que cette petite astuce va vous permettre de rester focalisée sur votre plaisir. Pour quelques conseils pour vous préparer, regardez ma vidéo GRWM sur la méthode que j’utilise pour me préparer.

6. Garder son sac toujours prêt

En effet, il ne faut surtout pas avoir à refaire à chaque fois votre sac de danse. L’objectif est de réduire les obstacles qui vous freinent sur le chemin de votre cours. Donc une bonne fois pour toutes, vous faites votre sac, avec tout ce qu’il te faut. Et comme ça, le jour du cours, il n’y a plus de question à se poser au moment de partir ! Si vous avez peur d’oublier quelque chose, je vous conseille d’aller voir ma vidéo “Ce qu’il y a dans mon sac de danse”, où je déballe toutes mes affaires.

7. Arrêter les excuses

Peut-être plus crucial encore que les autres points ! Finis les “j’avais un truc de prévu, finalement j’ai pas pu venir…” Si vous voulez vous mettre à la danse, il faut le faire bien. Et pour y arriver, le mieux, c’est d’ouvrir son agenda, de créer un événement sur le créneau du cours de danse, et de le mettre en récurrent. Vous le planifiez automatiquement pour qu’il se répète chaque semaine, pour éviter d’avoir à le programmer à chaque fois et surtout pour ne pas l’oublier. Ainsi, vous ne pouvez rien programmer d’autre sur ce créneau. La petite astuce supplémentaire, c’est de le mettre aussi dans son agenda professionnel, sans forcément écrire ce que c’est précisément (juste un événement intitulé « privé » en récurrent). Ça vous évitera d’avoir des rendez-vous organisés par d’autres personnes par-dessus, mais aussi d’anticiper des périodes plus chargées pour vous organiser. Le mot d’ordre est donc l’organisation pour pouvoir profiter un maximum de son cours sur place !

8. Combattre sa flemme

Si vous faites partie des gens qui réussissent à se trouver des excuses, même quand le rendez-vous est scrupuleusement noté dans leur agenda, il faut passer au niveau supérieur : “hacker” sa motivation. Il y a alors une technique très simple : sélectionner quelqu’un dans le même cours que vous et passer un pacte avec cette personne. A savoir : vous paraphez un contrat qui vous engage réciproquement à verser 50€ à l’autre si vous manquez un cours. Impossible de nier, elle verra bien si vous n’êtes pas là, et pourra donc vous réclamer l’argent. Une sanction qui devrait suffisamment vous motiver à une parfaite assiduité !

9. Se récompenser

C’est l’inverse du dernier point ! Si vous ne ratez aucune séance pendant tout un mois, offrez-vous quelque chose : un cadeau, un resto, un bébé chien… ce que vous préférez ! L’idée est de se faire plaisir et d’associer encore plus ces bonnes habitudes à quelque chose de positif !


Vous avez désormais tout ce qu’il vous faut pour vous mettre plus facilement à la danse, et vous pouvez bien sûr utiliser ces 9 hacks pour tester la danse Pompom avec moi. Vous pouvez d’ailleurs retrouver toutes les informations sur mes cours et mes stages en cliquant ici !

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POM’Kiss

Identité visuelle : pourquoi je danse avec des pompons de toutes les couleurs ?

Pourquoi je danse avec des pompons de toutes les couleurs ?

Dans cet article, on va parler de l’importance d’avoir une identité visuelle pour les équipes Pompoms. Et répondre à une question qu’on me pose souvent : pourquoi je danse toujours avec des pompons de toutes les couleurs ?

Une identité visuelle, c’est quoi ?

Wikipedia nous dit que : “L’identité visuelle exprime grâce à un style graphique : les valeurs, l’activité et les ambitions d’une entreprise (ou d’une équipe, en ce qui nous concerne), et se traduit par des signes, des couleurs, des formes et des textes.”

En d’autres termes, pour une équipe Pompom, l’identité visuelle, c’est ce qui vous permet à la fois d’être reconnus, mais aussi d’être différents des autres.

Il faut donc prendre en compte plusieurs éléments :

  • Votre équipement : votre tenue, vos chaussures et vos accessoires (comme les nœuds dans les cheveux ou les chaussettes).
  • Vos pompons : ils sont évidemment un emblème essentiel de votre équipe. Mais comment bien les sélectionner ? Pas d’inquiétude, je vous donne les clés pour bien choisir vos pompons dans cet article !
  • Et enfin, un élément facultatif mais que je vous recommande : un nom et un logo d’équipe.

Autant de choses que vous pouvez créer et personnaliser pour avoir une équipe unique ! Pour ça, il faut savoir ce que représente votre équipe.

Quelle est votre identité visuelle ?

Il existe en gros deux cas de figure.

1) Vous êtes rattachés à une équipe sportive, une entreprise ou une école, ou un pays. Dans ce cas, ça va être plutôt simple, puisque vous allez utiliser les couleurs de cette entité !

2) Vous êtes une équipe indépendante. L’idée, c’est de choisir ce que vous voulez mettre en avant. Par exemple :

  • Quels sont vos objectifs ?
  • Quelles sont vos valeurs ?
  • Quelle est votre spécialité ?

En ce qui me concerne, j’ai une identité principale, dans laquelle je vais représenter ma mission et les valeurs que je défends. Mais j’utilise d’autres identités lorsque je suis en prestation pour une marque ou pour un événement.

Mon identité : le pompom pour tous

mon identité visuelle : le pompom pour tousComme vous le savez déjà si vous me suivez, lorsque je danse en tant qu’Elise Pompom Girl, ce que je veux défendre, c’est le pompom pour tous.

Les couleurs de l’arc-en-ciel représentent l’harmonie et la diversité, et c’est vraiment quelque chose qui me tient à cœur. Le message que je souhaite ainsi faire passer, c’est qu’on fait tous partie de la même team, mais avec nos différences, en utilisant des pompons qui sont identiques mais de couleurs différentes.

 

pom pom girls foot euro 2016 TF1Ça peut être différent quand je danse pour un événement : quand j’avais soutenu les Bleus, avec mes pompoms, lors du lancement de l’Euro 2016 (TF1), on avait utilisé les couleurs de la France.

Qui c'est les plus forts pom pom girlC’est aussi le cas quand je suis en prestation. Par exemple, dans le film “Qui c’est les plus forts ?”, pour lequel j’étais danseuse et chorégraphe, mes danseuses et moi devions incarner l’équipe des PINKS. Toute l’identité visuelle découlait donc de leur histoire. Le petit détail amusant, c’est que dans le film, les PINKS sont en fait l’équipe de Pompoms de l’AS Saint-Étienne, “les Verts”. Mais on n’a pas pu danser en vert, parce que vert sur la pelouse verte, ça ne rendait pas à l’écran.

N’oubliez donc pas, l’identité visuelle doit prendre aussi en considération : dans quel cadre vous allez danser, sur quel support, sur quel sol, dans quelles conditions…

 

Et vous, mes POMS, c’est quoi votre identité ?

 

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POM’Kiss

 

REUSSIR SON SPECTACLE DE DANSE ! (5 erreurs à éviter)

Top 5 des erreurs à éviter lors d’un spectacle de danse

Le spectacle de fin d’année est un moment toujours très attendu, et on espère toujours y faire bonne figure. Il faut évidemment bien connaître ses chorés et les travailler à fond pendant les répétitions, mais il y a aussi quelques fondamentaux à respecter à chaque fois. Voici donc 5 erreurs à éviter durant un spectacle de danse.

1. Fuir le regard du public

C’est sûrement l’erreur la plus fréquente : on a souvent tendance à regarder par terre, en l’air, ou encore à chercher le regard des autres danseurs pendant la chorégraphie. Mais si vous êtes sur scène, c’est pour danser pour votre public : pour vos amis, pour votre famille et pour les gens qui ont payé pour voir ce spectacle. Si regarder quelqu’un droit dans les yeux peut vous perturber en dansant, alors trouvez un point neutre, entre deux sièges ou vers la lumière, mais dirigé vers les spectateurs.

2. Réfléchir à votre liste de courses

Vous n’avez pas travaillé pendant toutes ces heures de répétitions pour finalement penser que vous devez acheter du pain, une fois sur scène. Restez concentré(e) sur votre chorégraphie, vos pas et rien d’autre ! Vous en tirerez au moins deux bénéfices :

  1. Vous ferez un meilleur spectacle parce que les gens dans la salle vont sentir que vous êtes à 100% présent(e) sur scène et que vous ne pensez qu’à ça.
  2. Vous concentrer totalement vous permettra d’éviter de vous tromper de bras, de jambes ou de placement pendant votre choré.

3. Ne pas tout donner

Vous avez bossé pendant des heures, vous connaissez les pas sur le bout des orteils, vous êtes enfin sur scène… Ce n’est plus le moment de marquer la chorégraphie ou de s’économiser ! Faites les mouvements à fond, tendez-moi ces bras, donnez tout ! Il faut absolument que quand vous sortez de scène, vous soyez fier/fière de vous et que vous n’ayez pas le regret de ne pas avoir dansé complètement.

4. Se pincer les lèvres

C’est certainement ce qu’on m’a le plus reproché dans ma vie de danseuse : avoir tout le temps les lèvres pincées. Ça peut vous sembler être un détail, et ça l’est, mais quand vous dansez en vous pinçant les lèvres, le public a l’impression que vous ne connaissez pas votre chorégraphie et qu’il vous faut faire un travail de concentration démesurément intense pour vous en souvenir.

5. Faire la gueule

La pire erreur de toutes. Si ça vous semble évident, je vous garantis que ce n’est pas le cas de tous ! Et oui, vous avez choisi de faire de la danse par envie, par plaisir, par passion… Montrez-le ! C’est le moment de sourire, de s’éclater, de kiffer ! Il n’y a rien de plus désagréable que de regarder des gens danser en faisant la gueule. Personnellement, je préfère infiniment quelqu’un qui va effectuer sa choré avec quelques petites erreurs (faut pas non plus qu’il se viande tous les deux pas), mais qui transmet sa passion et se fait plaisir, à quelqu’un qui est techniquement impeccable, mais qui tire une tête de six pieds de long.

 

En gardant en tête ces 5 erreurs à éviter, vous pourrez préparer votre prochain spectacle de danse dans les meilleures conditions !

 

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BLESSURES DANSE : LES EVITER ET LES SOIGNER (ce qu’il faut faire et ne pas faire)

Cet article aborde un problème auquel on doit tous faire face, danseurs professionnels comme amateurs : les blessures !

Au-delà de la douleur, les blessures peuvent remettre entièrement en cause la pratique de notre discipline, et nous faire souffrir davantage si elles nous empêchent de danser pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois. Trop de danseurs peuvent prendre ça à la légère et le regretter profondément par la suite.

Les bonnes pratiques pour éviter les blessures

Évidemment, l’objectif est surtout de les éviter au maximum. Pour ça, il faut impérativement garder à l’esprit les fondamentaux au moment des entraînements :

  • AVANT : On s’échauffe !
  • PENDANT : On s’hydrate ! (pensez aussi à vous hydrater à d’autres moments…)
  • APRÈS : On s’étire !

Pour vous aider, vous pouvez retrouver mes vidéos d’échauffements, d’étirements et tous mes conseils sur la danse, sur ma chaîne Youtube. Vous pouvez même enregistrer la playlist pour vous en servir à chaque fois que vous allez danser !

Mais prendre soin de son corps, c’est aussi quelque chose à faire au quotidien. Pour réduire les risques de blessures, il y a des choses à limiter, voire à bannir, en fonction de l’importance de la danse dans votre vie.

En ce qui me concerne, mon corps, c’est mon outil de travail, donc je m’interdis totalement certaines activités comme :

  • Le roller, le skate ou le patin à glace
  • Le surf ou le ski
  • Les sports extrêmes
  • Etc.

En réalité, ce n’est pas un gros manque pour moi, puisque ce ne sont pas mes activités préférées, notamment le ski, que je déteste (beaucoup trop froid). Mais surtout, le fait de pouvoir danser compte beaucoup plus pour moi.

Il faut également parfois savoir limiter de petites choses toutes bêtes :

  • Par exemple, même si j’ai TRÈS envie de tester les hoverboards, je m’en passe parce que j’ai beaucoup trop peur de me gaufrer.
  • Ou encore, je tiens toujours la rampe en descendant les escaliers (même si elle me semble couverte de microbes). Et ce d’autant plus que ça m’est déjà arrivé de m’étaler sur un trottoir, sans aucun obstacle, et en baskets ! Je préfère donc rester prudente en toutes circonstances.

Et ne pensez pas que ces conseils sont réservés aux professionnels ! Même en tant qu’amateur, il est très important de faire attention et de redoubler de vigilance, en particulier à proximité de dates importantes. Ça vous permettra d’éviter de voir une blessure gâcher tout un travail effectué pendant des mois, à l’approche d’un évènement qui vous faisait rêver.

Par conséquent, à l’approche d’un spectacle ou d’une compétition, je vous recommande de limiter tout ce qui est dangereux, mais aussi tout ce qui est nouveau !

À savoir :

  • Les nouvelles activités sportives. Par exemple, vous voulez vous mettre à la Pole Dance, bonne idée ! Mais évitez de commencer juste avant un show, au risque de ne plus pouvoir lever les bras à cause des courbatures… 
  • Les nouveaux rythmes. Par exemple, vous allez à la salle de sport une fois par semaine. Si vous êtes habitué(e) à cette fréquence depuis des mois, bonne idée ! Si vous décidez de passer à 3 séances par semaine pendant une période de répétitions intensives, vous risquez de fragiliser d’autant plus votre corps… 
  • Les nouveaux accessoires. Par exemple, utiliser des chaussures de danse adaptées, bonne idée (c’est même indispensable) ! Mais mettre une paire neuve pour la première fois le jour du spectacle, c’est prendre le risque de torturer vos pieds sur scène, alors que ce n’est pas vraiment le bon moment…

 

Les bons réflexes pour soigner les blessures

Malheureusement, malgré toutes ces précautions, certaines blessures sont inévitables. Dans ce cas, il est crucial d’avoir les bons réflexes :

  • ARRÊTER IMMÉDIATEMENT. Trop de gens continuent à danser en étant blessés (le syndrome du “même pas mal”) et le risque de suraccident est énorme. Les conséquences peuvent être très sérieuses, donc écoutez votre corps et stoppez immédiatement votre effort en cas de douleur intense. 
  • CONSULTER UN MÉDECIN. Ça vous paraît évident ? Peut-être, mais si vous saviez le nombre de personnes qui ne le font pas… Et oui, même si certaines blessures s’avèrent finalement sans gravité, il est indispensable de consulter un professionnel de santé pour avoir un diagnostic précis et s’assurer une bonne guérison, quel que soit le type de blessures. 
  • PRENDRE LE TEMPS DE RÉCUPÉRER. C’est certain, ça peut être frustrant de manquer des entraînements, mais attention à ne pas reprendre trop tôt, au risque de vous blesser à nouveau ou d’aggraver votre problème. Être arrêté(e) 2 mois de plus parce qu’on a voulu redanser une semaine plus tôt, c’est un peu con…

N’oubliez pas : la santé avant tout ! Prenez soin de vous, écoutez votre corps et n’oubliez pas de faire le plein d’énergie positive !

 

Et pour votre dose d’énergie positive, abonnez-vous gratuitement à ma chaîne Youtube en cliquant ici ! Vous recevrez régulièrement des vidéos pour tout apprendre sur la Danse Pompom !

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La Danse Phénoménale du Mondial France Handball 2017

À l’occasion du Championnat du Monde Masculin de Handball 2017, j’ai eu le plaisir de chorégraphier la danse officielle des supporters : « la Danse Phénoménale » ! Un projet phénoménal à suivre en VIDÉOS en vous abonnant gratuitement à ma chaine Youtube, cliquez ici : S’ABONNER

La Danse Phénoménale : sa création !

Danse Phénoménale France Handball 2017Pendant toute la durée du Championnat du monde masculin de handball 2017, du 11 au 29 janvier, la Caisse d’Épargne, partenaire officiel de la compétition et de la FFHandball, propose aux supporters de tenter de gagner le trophée du meilleur supporter. Comment faire ? C’est tout simple : à la mi-temps des 84 matchs du Championnat du monde, il s’agira pour vous de danser en tribunes la « Danse Phénoménale », sur l’air de “Lordly”, la bande originale du Championnat du monde, signée FEDER.

Pour cela, j’ai eu le plaisir de créer la petite chorégraphie intitulée la « Danse Phénoménale » ! J’ai également tourné plusieurs vidéos pour vous permettre d’apprendre les mouvements et d’enflammer les tribunes ! Retrouvez toutes ces vidéos sur ma chaine Youtube, CLIQUEZ ICI

danse phénoménale video silhouetteMA VIDÉO SILHOUETTE 

Dans cette vidéo, j’incarne une silhouette aux couleurs de la Caisse d’Épargne, le partenaire de l’animation pour le mondial France Handball 2017. Cette réalisation a pour objectif de permettre aux supporters d’apprendre et de suivre la mini chorégraphie de la Danse Phénoménale ! Pour cela, la silhouette est projetée à la mi-temps de tous les matchs du mondial.

danse phénoménale making of silhouette

MAKING-OF : MON TOURNAGE SUR FOND VERT

Découvrez les coulisses du tournage de ma vidéo silhouette. Au programme : enregistrement sur fond vert et shooting photo ! Objectif : permettre à tous de comprendre, le mieux et le plus rapidement possible, les pas de la Danse Phénoménale ! Une nouvelle expérience pour moi, puisque c’était mon tout premier tournage sur fond vert.

MAKING-OF : TOURNAGE DES TEASERS DE LA DANSE PHÉNOMÉNALE

Retour en images sur une journée de tournage entièrement dédiée aux vidéos de présentation réalisées par Teleprofilm. Vous y retrouverez également Virginie, élue meilleure supportrice des Experts par la Caisse d’Épargne, qui joue parfaitement sont rôle de coach pour vous entraîner à la chorégraphie officielle des supporters du France Handball 2017.

La Danse Phénoménale : aussi pendant les matchs !

Le projet du mondial France Handball 2017 ne s’arrête pas là pour moi ! J’ai également eu le plaisir de me voir confier l’animation de Mister Bing Bang ! Accompagnée de ma team de danseurs, et en collaboration avec la compagnie Mojgan’arts, vous me retrouverez sur les terrains pendant tous les matchs de l’équipe de France pour animer l’évènement et vous faire danser la Danse Phénoménale !

Je vous fais également vivre les coulisses de nos shows à travers la France avec mes VLOG ! Cliquez sur les vignettes pour les voir et abonnez-vous à ma chaine pour suivre toutes mes aventures en cliquant ici  : Je m’abonne gratuitement !

danse phénoménale vlog nantes danse phénoménale vlog montpellier

Danse Phénoménale VLOG Lille

 

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Je poste une nouvelle vidéo chaque semaine pour apprendre la Danse Pompom et découvrir les coulisses de ma vie de danseuse !

Interview dans Ovale Magazine

Récemment, j’ai eu le plaisir d’être interviewée par le magazine Ovale, qui m’a consacré une page complète !! Merci à l’équipe pour ce bel article ! Je vous laisse découvrir la retranscription de l’interview ci dessous :

Interview : ELISE, Danseuse, Chorégraphe et Professeur de danse Pompom

– Vous êtes la fois Pompom girl, prof, chorégraphe et metteur en scène ? inteview elise-pompom-girl-dans-ovale

Oui effectivement, c’est un intitulé à rallonge mais mon métier c’est tout ça à la fois. Le Pompom sous toutes ses formes finalement !!

– Vous avez été également actrice et coach dans un film de Charlotte de Turckheim en 2014, comment cela s’est passé ?

Charlotte De Turckheim a aimé mon travail et a décidé de me confier la création de la chorégraphie pour son dernier film « Qui c’est les plus forts ? » sorti en Juin 2015. J’ai donc préparé les actrices – Audrey Lamy, Julia Piaton, Barbara Bolotner ainsi qu’Alice Pol – pour leurs scènes de Pompom Girls notamment celle tournée en live dans le mythique stade Geoffroy-Guichard pendant la mi-temps d’un match de Ligue 1, devant plus de 33000 spectateurs ! J’ai également eu le plaisir d’apparaître à leurs côtés pour ces scènes dans le rôle de leur co-équipière au sein de l’équipe pompom des PINKS. Une expérience inoubliable !

– Comment vous est venue cette vocation de danseuse ?

Elle a toujours été là je crois, je danse depuis que je marche d’après certaines vidéos de famille. J’ai commencé par la danse classique puis je ne me suis plus arrêtée : modern’jazz, hip hop, salsa, etc. Jusqu’au jour où j’ai découvert la danse pompom en 2008 et ça a été un véritable coup de cœur, c’est là que j’ai véritablement trouvé ma vocation !

– Quelle est votre vision de la pompom girl moderne ?

Ma vision est la même depuis mes débuts, être pompom aujourd’hui, ce n’est ni un genre, ni un physique, ni un âge… C’est uniquement un état d’esprit où la danse, l’énergie positive et l’esprit d’équipe ne font qu’un.

– Vous proposez des cours, et même des stages pendant l’année… Tout le monde peut venir ?

Oui, bien sûr, tout le monde peut devenir pompom ! Depuis l’ouverture de mon tout premier cours, ces valeurs de Pompom pour tous me tiennent particulièrement à cœur. J’appelle ça le Meltin’Pom. Mes cours sont donc accessibles à tous, quels que soient le genre, la morphologie, l’âge, ou le niveau de danse.

– Quels sont les sports que vous aimez et quels sportifs admirez-vous ?

Évidemment, mon sport préféré ne peut être que la danse. Mais j’admire tous ces grands sportifs qui savent fédérer une équipe et faire également vibrer le public, quelle que soit la discipline, comme Sébastien Chabal, Hugo Lloris ou encore Tony Parker.

– Où pourra t-on vous voir cet été et à la rentrée ?

Mes cours se dérouleront tous les jeudis à 20h30 au Centre des Arts Vivants de Paris, à partir du 25 août 2016. Et pour tous les autres évènements, il faut me suivre sur les réseaux sociaux dès maintenant à @elisepompomgirl et vous retrouverez toutes les informations sur mon site elisepompomgirl.com !

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Interview : Ovale Magazine